Olivier Charlier / Press Quotes

Vivaldi's Four Seasons violin concertos are perhaps the most famous pieces of classical music in existence, and new versions of them continue to find a market. A performance by a regional French orchestra and a rising French violinist, none of them using historical instruments, might seem to have a hard road ahead to make itself heard, but this little reading is rounded out with a pair of other very common Vivaldi concertos. The disc was recorded live at a festival in Reims that has served as source material for a number of releases on the Transart label, which is oriented toward live recordings. Violinist Olivier Charlier has a fine singing tone and simply plays to his strengths, shifting the emphasis to the slow (and slower) movements and their limpid melodies. The result is that the most enduring and endearing Vivaldi melody of all (track 11) comes out very well indeed here, and in general the strong tempo contrasts work to the benefit of the music's pictorial scenes. The outer movements contain little that hasn't been done many times before, and
the live engineering is uninspiring. But the lesson is that no matter how familiar the
Vivaldi Four Seasons may become as they approach their second half century at the top of the classical heap, there's still plenty of room for individual musicians to find the places where these concertos fit their particular talents. ALLMUSIC – septembre 2011

 

(…) Le violoniste Olivier Charlier interprète la Symphonie espagnole (qui fut créée précisément par l’Orchestre Pasdeloup et Pablo de Sarasate en 1875), démontre toute sa filiation avec la grande tradition de l’Ecole française – en particulier celle de son maître Pierre Doukan. Pureté de ligne, fermeté du trait, sobriété des effets (y compris dans le Rondo-allegro final), qualité du phrasé et de l’intonation caractérisent une interprétation épurée et naturelle. Michel Le Naour – Concertclassic.com - février 2011

 

Un duo d'exception
« Les quatre bis ont témoigné de l'enthousiasme du public pour ce duo.
Le duo Engerer-Charlier, nous l'avions annoncé, est parfaitement en phase. Un équilibre remarquable, une solide communion de pensée et un enthousiasme communicatif… le tout illuminé d'une technique superlative. Le programme retenu allait du très populaire : sonate opus 24 « Le Printemps » de Beethoven, au plus secret avec la juvénile sonate en Sol de Grieg… non sans faire une escapade vers l'insolite, avec une transcription de l'illustre « Faune » de Debussy. La sonate en Fa opus 24 de Beethoven fut un grand moment par la parfaite cohésion des duettistes : phrasés, respiration, lyrisme contenu, tout donnait l'illusion d'entendre un même instrument, malgré la singulière réverbération du piano dans la vaste cuverie du champagne Cazanove. Pourtant, la méditation de l'Adagio molto fut un moment d'extrême poésie.
Avec Schumann, changement d'atmosphère et de couleur ! C'est avec fougue mais gravité que les deux solistes s'élancèrent dans la très concise sonate opus 105. Une page tardive de 1851 écrite, alors qu'il ne restait plus au compositeur que 3 années d'activité créatrice… L'interprétation se contint entre fébrilité et mélancolie. Schumann sentait-il que le temps lui était compté ? C'est bien de ce soleil noir, de cette fenêtre ouverte sur le vide dont nous parla, avec flamme, le duo Engerer - Charlier. En «intermezzo » vinrent les deux pages de Debussy « Beau soir » et le célèbre « Prélude à l'après-midi d'un Faune ». Fallait-il nous faire oublier, par ce travestissement du « Faune », le mythique solo de flûte qui taquinait le système tonal ? Certes, André Caplet a transcrit pour piano plusieurs pages de Debussy, dont « La Mer ». Au début du XXe siècle, cela se justifiait, car chacun ne pouvait disposer chez soi d'un orchestre symphonique !  (…) Pour conclure, on en revint au véritable couple violon et piano qui nous imprégna de l'humeur sombre de la Sonate opus 13 de Grieg, parfumée d'effluves nationalistes sentant bon la terre norvégienne. Olivier Charlier en fit chanter tous ses contrastes, ses couleurs, avec autant de virtuosité que d'expression. Il est des virtuoses qui glacent ; il en est d'autres qui réchauffent par leur art, leur précision et leur manière de tout partager avec le public. Tel fut le cas hier soir avec ces duettistes exceptionnels qui font de la musique de chambre comme d'autres discutent avec passion. » Francis ALBOU  - 3 juillet 2009

 

A propos de l’enregistrement des Concertos 3, 4 et 5 de MOZART chez Transart Live, avec le Prague Chamber Orchestra, paru en décembre 2008 : « Olivier Charlier signe un superbe enregistrement, dirigeant de son archet aérien et élégant le Prague Chamber Orchestra. » J. Lukas, La Terrasse, décembre 2008

« En apportant [à ces concertos] une vocalité épurée et élégante, Olivier Charlier poursuit une lignée de violonistes olympiens tels Henryk Szering (son maître) ou Arthur Grumiaux, qui mettent en avant une plastique vocale abstraite et une sonorité classique. Des oreilles pressées risquent de passer à côté de cette poésie de l’exactitude chère à Paul Valéry… » F. Langlois, Le Monde de la Musique, novembre 2008

« Un son racé, un jeu d’archet parfait et rapide, une technique inébranlable… (…) une très belle exécution de ce Concerto [n°3 de Saint-Saëns], qui permet à Olivier Charlier de prétendre très dignement à sa place dans la grande lignée des Francescatti, Thibaud et autres… » Audrey Roncigli, www.resmusica.com, 12 février 2007

« Some of the most memorable aspects of this concert were associated with the performance of Tchaïkovsky’s Violin Concerto. Olivier Charlier’s playing of the solo part had the sort of power and subtlety of tone that inspires total confidence. He is one of those musicians whose pianissimos filled the hall. The dance-like energy of the finale felt all the more appropriate for seeming to be effortless. » Irish Times, 3 juin 2006

« The program’s main curiosity was Marius Constant 103 Regards dans l’eau , a 1981 violin concerto in four movements, each embodying a stream of varied characterizations of water. Much of the action is in the solo violin line, which Olivier Charlier played with suppleness and drive. » Allan Kozinn, The New York Times, 24 janvier 2006

« Le soliste s’est révélé dans une œuvre qu’il semble affectionner : le nocturne pour violon et orchestre Sur le même accord d’Henri Dutilleux, particulièrement réussi. C’est en effet avec un rare bonheur que le soliste traduit le climat onirique, l’élan, le lyrisme avec l’impact poétique que réclame cette œuvre. Certainement un moment intense qui nous apporte de nouvelles raisons d’admirer et d’aimer les œuvres d’Henri Dutilleux. » Pierre Chevreau, Journal l’Alsace, 2 juillet 2005

« Défendu par le Français Olivier Charlier, le Concerto pour violon de Berg s’inscrit sans doute, par sa gravité, parmi les moments forts de cette saison. (…) Olivier Charlier exploite ce lyrisme particulier avec goût et de façon affirmée. Les différents caractères demandés par l’auteur, le viennois, le rustique, sont notamment bien rendus. Et l’apparition du choral Es ist genug emprunté à Bach mais semblant provenir d’un autre monde, produit un effet assez prodigieux ». Richard Boisvert, Le Soleil, 25 février 2005

« Hohe Geigen-Schule mit Olivier Charlier und Tchaïkovskys Violin-konzert in D-dur. (...) die ganze wippende Gestalt des Geigers ist schon Dynamik pur, sein Ton aber bleibt, den technischen Finessen trotzend, souverän, leicht, ja, auch raffiniert – der Mann ist schliesslic Franzose. » Saarbrücker Zeitung, 12 décembre 2005

« Des ovations sans fin pour le violoniste Olivier Charlier, à l’archet superbe et généreux (…) On a aimé Charlier vivant sa partition, ses aigus d’une finesse inouïe, son lyrisme s’épanouissant dans un paysage contrasté. Le violon de l’âme, une fête pour l’esprit. » Aurore Busser, Nice Matin, 10 mars 2004

« Hier enfin, le public de Saarbrücken pouvait faire connaissance avec une œuvre orchestrale du compositeur contemporain Henri Dutilleux, surtout connu dans sa France natale……….. Olivier Charlier en remplacement de dernière minute était le soliste du concerto pour violon.
Malgré l’écriture atonale l’œuvre est agréablement audible. Le titre « L’Arbre des Songes » a été choisi par Dutilleux parce que les sons se mêlent comme des branches. La partie solo est intégrée, mais jamais couverte. Charlier résout les multiples difficultés avec un son généreux et une déconcertante assurance. ……Avec le « bis », une étude de Fiorillo, Charlier montre qu’il est aussi un maître de virtuosité dans l’acrobatique du violon. » Saarbrücker Zeitung, 24 mars 2003

« Des sons qui s’emmêlent comme des branches »
« Aucun des concertos pour violon importants renonce aux exigences, possibilités et séductions spécifiques au violon. Le concerto d’Henri Dutilleux dédié à Isaac Stern qui le créa en 1985 n’échappe à cette règle… Olivier Charlier interprète le solo à tout point de vue souverainement, un violoniste à la sonorité agréable, constructif, intellectuel. Une rencontre qui en valait le coup avec un fin musicien. » Kölner Stadt-Anzeiger, 26 mars 2003

« Largeur et profondeur du son, sûreté technique, mais, surtout, qualité du chant et implication émotionnelle, Olivier Charlier a montré partout autant de fougue que d’élégance.» www.concertonet.com, 17 déc 2001

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